Conducteurs d’engins :
Formation par métier, selon Universal School

 

La conduite d’engins nécessite avant tout des performances, des compétences, de la maîtrise au regard des exigences et l’application dans le travail, le respect de la norme et surtout de la sécurité. C’est à ces besoins que vient à répondre Universal Performance Materiel School à l’endroit des jeunes qui ont conquis du matériel dans le cadre du dispositif d’aide de l’Etat aux jeunes auto-entrepreneurs qui ont investi le créneau des BTPH dans le domaine des déblaiement et terrassement. Les entreprises sont aussi dans la ligne de mire de cette jeune école qui a déjà formé au bout d’un an d’existence plus de 250 opérateurs conducteurs qui ont eu accès à la formation théorique et pratique.

La formation actuellement  consiste à se performer dans la conduite des engins au sol sur roue ou sur chenille comme les rétro-chargeurs, chargeuses, niveleuses, pelles hydrauliques, les bulls et il reçoit aussi l’élémentaire aussi sur l’entretien de son engins. Une formation d’engin de manutention tel que grue et stacker qui sont aussi au menu de la formation agréée. C’est une première école privée basée aux Eucalyptus qui couvre l’Algérois dirigée par un ancien privé des travaux publics qui a mis à disposition son terrain de près de 5 000 m2 pour la partie pratique.

Le bâtiment regorge d’un large éventail de métiers. Chaque métier fait appel à des aptitudes différentes. La formation est évidemment aujourd’hui plus que nécessaire d’autant plus que les ouvriers qualifiés à divers métiers font défaut et risquent d’être importés.

On notera qu’en France, il existe dans le bâtiment près de 70 diplômes de l’Éducation nationale, 75 titres du ministère du Travail et 34 certificats de qualification professionnelle (CQP) spécialisés. Un créneau à investir.

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