La cimenterie d’Oum El Bouaghi finalement réalisable
Lafarge abdique devant la règle 51/49 %

Le géant français des matériaux de construction, Lafarge, a finalement accepté de travailler en Algérie, conformément à la règle de 51/49%, régissant les IDE depuis la loi de finance complémentaire (LFC) 2009.

C’est sur projet de la cimenterie de Segus d’Oum El Bouaghi qui devait être réalisée, il y a déjà plusieurs années par l’égyptien Orascom Cément. C’était considéré comme un nouveau projet, donc, il doit obéir aux dispositions énoncées dans la LFC 2009 qui interdisent à tout opérateur étranger de détenir plus de 49 % du capital d’un projet d’investissement réalisé sur le territoire algérien.

Au rappel, le groupe Lafarge avait hérité de ce projet et d’autres titres miniers qui lui étaient rattachés après l’acquisition de la branche matériaux de construction d’Orascom à la Bourse du Caire en décembre 2007.

La cimenterie d’Oum El Bouaghi sera finalement réalisée, avec près de 5 ans de retard sous le régime du 51 % algérien représenté par GICAet 49 % étranger par Lafarge.

A. F.

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