La 52e édition de la Foire internationale d’Alger (FIA) inaugurée par le chef d’Etat Abdelkader Bensalah, hier le 18 juin est marqué par une défection d’une centaines d’exposants comparé aux éditions précédentes qui accueillait annuellement environ 700 exposants contre seulement 5 44 pour l’édition 2019.
Le contexte politique tumultueux ne donne pas suffisamment de visibilité aux acteurs économiques sur le le court terme, explique ce recul aussi bien des coté des nationaux que du coté internationaux. La Fia réputé plus comme une vitrine d’expression politicoéconomique nationale mais aussi des relations internationale. pendant des décennie , elle fut une vitrine d’ intense communications des nouveaux investisseurs qui choisissent cet évènement pour s’annoncer.
Il est à noter les secteurs des secteurs dynamiques ou la concurrence est redoutable, les entreprises tiennent à marquer de leur présence. malgré l’absence de nombreux acteurs de grande taille, les secteurs de l’industrie mécanique, du bâtiment et de la métallurgie se sont arrogés la part belle en nombre de participants de 90 entreprises et de surface étalées sur 4502 m2.
suivit par 46 grands groupes d’ entreprises issus de partenariat avec les étrangers , repartis sur une surface d’exposition de 4 323m2 , le reste est dédié au secteur de l’électronique et l’électrique( 29 entreprises, 3 668m2), la chimie et la pétrochimie(61 entreprises, 2270m2), manufacture(24 entreprises, 698m2), services(73 entreprises, 2435m2), agroalimentaire et emballages(46, 2538m2)