Après l’annonce mercredi dernier de la levée des restrictions prévues dans le cadre de la règle 51/49 %, portée dans l’avant-projet de loi de finances 2020, la question a suscité des réactions à noter celle du président des entrepreneurs de l’association AGEA, Mouloud Kheloufi, qui s’est opposé, à sa suppression pour qui cette levée représente « une menace pour les entreprises privées et l’économie nationale » . Alors que le président actuel du forum des chefs d’entreprises, Mohamed Sami Agli, le remplaçant d’Ali Haddad , en prison, a insisté mercredi dernier lors de son intervention sur les ondes de la chaine 3, sur la nécessité de réviser la règle 51/49 qui constitue, selon lui, un frein réel pour encourager l’investissement étranger (IDE) ; un avis partagé par l’expert et professeur en économie Abdelhak Lamiri qui estime cette proposition , comme un signal positif mais pas suffisant pour construire une économie de succès lors de son intervention dans l’invité du matin sur radio chaine 3, ce dimanche 15 septembre 2019.Une inquiétude probablement légitime, au regard de cette ouverture du marché qui met les entreprise nationales qui ne sont pas suffisamment forte en terme de management et autres outils de marketing à une rude concurrence internationale. Mais il y a lieu de noter pour cela puisse se faire , il faudra un climat politique serein pour drainer ces entreprises internationales qui ne sont pas entrain de se bousculer au portion. ceux qui une aubaine aux entreprises de se préparer pour faire faces aux nouveaux standard .