Sur 1 517 sollicitations transmises aux entreprises algériennes inscrites sur la short-list, 80% des entreprises ne répondent pas à la sollicitation du ministère de l’Habitat de l’Urbanisme et de la Ville. Seulement, 12% ont émis un avis défavorable justifié par des investissements dans d’autres projets, contre 6% d’offres financières excessives, selon le ministère qui exige un prix allant de 42 000 à 54 000 DA le mètre carré.
Concernant les appels d’offres, le ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville a enregistré 2 852 cas d’infructuosité entre 2013 et 2014, faisant état ainsi d’une faible affluence des entrepreneurs algériens sur ces projets.
Un niet qui s’explique par les coûts économiques des projets qui pourraient remettre en cause la vie des entreprises de réalisations.
Malgré l’énormité du chiffre d’anfructuosité d’appels d’offres en 2 ans annoncé par le ministère, il n’y a pas encore de politique de prix de logement claire entre celui pratiqué par la demande publique et la promotion libre.