Depuis le 18 novembre le prix du ciment a connu une autre baisse en sorti d’usine, chez les cimentier Gica et Lafarge Holcim pour s’établir à environ 360 DZD sorti d’usine, nous annonce un distributeur. La principale cause de cette baisse nous apprend, le responsable marketing de Biskria est dûe à l’inquiétude de la baisse de la demande en ce matériaux en conséquence de la chute de plan de charge de la commande publique.
Relancer la croissance de la demande par un retour à des prix réel du produit dans une tendance baissière après de longues années de surenchère des prix ou est-ce une anticipation sur la surcapacité de production du ciment attendue en 2020 dans laquelle se trouverait toutes l’industrie du ciment qui compte deux nouveaux acteurs pour 2020 ? La question demeure posée et sans réponse dans un marché de plus en plus concurrentiel en locale ou à l’export. A noter que le marché est dominé par le groupe industriel des ciments d’Algérie « GICA » et la multinationale, géant mondial, Lafarge Holcim auxquels se sont greffés des privés comme Biskria ciment spa(5Mt/AN), et autres s’annoncant d’entrer en production en 2020. En dépit des annonces sur une éventuelle reprise de certains chantiers, mais, la situation actuelle inquiète davantage, les chefs d’entreprises éalisateurs que producteurs, qui sont dans un «wait and see» qui n’a que trop duré. Un fait avéré, dans la plupart des déclarations recueillies en fin d’année au SITP 2019.
En effet, la commande publics a connu une baisse drastique à mesure que les grands chantiers tirent à leur fin alors que d’autres de prévus sont en attentes de lancement. Mais cette baisse malheureuse des prix emporte des des marges qui fera surement le bonheur du secteur des travaux publics qui préconise l’utilisation des bétons, plus durable pour la construction et l’entretien des routes et autoroutes.